CONCLUSION

J’ai écrit cela en une semaine, sans experts, sans moyens, sans structures. Les socialos ont eu 5 ans pour élaborer un projet. Où est-il ? Quelle est sa teneur ? Les libéraux n’ont pas besoin de se fatiguer : leur projet est clair : tout au marché, à la responsabilité individuelles, au patronat. Je ne suis pas exhaustif, loin de là, mais c’est une bonne base de discussion. A vous de vous en emparer.

On va crier à la dictature, au collectivisme. Mais, MM les libéraux, au contraire, mon programme redonne aux citoyens les libertés et les choix que la finance, les multinationales et le pouvoir quasi monarchique lui ont ôtés.

A l’heure où la campagne électorale fleure bon le nationalisme, je donne cette citation de Proudhon à la Royal et à l’autre : « là où est la Justice, là est ma patrie ».

Ma liste est loin d’être exhaustive, car il faut se limiter aux fondamentaux, le reste pouvant être négociés au cas par cas. Comme les vraies réformes dépendent avant tout de l’existence réelle de la démocratie, ce qui est le plus important c’est la réforme des institutions ; comme la finance s’est installée grâce à l’absence de démocratie, une réforme urgents et prioritaire est celle de la fiance en créant des contre-institutions indépendantes de l’UE et de l’international.