Il suffit d’une promenade autour de cette station pour comprendre le « paradoxe de la densité », si marqué à Paris : plus le bâti est dense, moins il est habité. Les quartiers de Paris où l’on mesure le plus de surface de plancher à l’hectare sont ceux où l’on compte le moins d’habitants au kilomètre carré : les quartiers de bureaux, vides d’habitants.

Le phénomène provient, analogue à la physique des fluides gazeux, de la compression des pauvres dans des surfaces réduites, et de l’expansion des riches dans des surfaces étendues.