Dans les noms de stations de métro, on compte 12 batailles et 39 militaires.
Ce qui amena Marcel Duchamp à commettre l’ « épelure » suivante, citée par le Dictionnaire extraordinaire des mots ordinaires (Belfond) de René Droin : Métro, aimer tes héros.

On compte encore 20 saints (catholiques), et 3 prisons. [Une seule femme : Louise Michel !]

39 rues de Paris portent le nom d’un médecin, une celui d’un caporal, 3 celui d’un sergent, 2 d’un adjudant, 4 d’un lieutenant, 9 d’un capitaine, 11 d’un commandant, 14 d’un colonel, 10 d’un amiral, 30 d’un maréchal, 68 d’un général.

Quant au stade baptisé du nom du fondateur des Jeux Olympiques modernes, le baron Pierre de Coubertin, apôtre de la paix et de la fraternité, il avoisine les rues du sergent Maginot, du général Malleterre, du général Niox, du général Clavery, du lieutenant-colonel Deport, du général Grossetti, du général Roques, et la place du général Stéfanik.

On y pratique la boxe, la lutte, le judo, le karaté, le sabre, le fleuret, le taekwondo, l’épée, le lancer de javelot, l’arc, le tir au fusil.

Pour rester dans les statistiques, Paris, aux noms des femmes (Descartes & Cie) nous apprend que Paris compte près de 6000 rues, dont 3750 portent des noms de personnes. 128 sont des noms de femmes. 32 sont des noms de propriétaires. Sur les 96 restantes, 20 sont des épouses, des maîtresses, des égéries. Il reste 76 femmes célébrées pour elles-mêmes, sur 3750 personnes.

[Vous avez remarqué ? Maria Deraisme est un orateur … Alors on recommence tout :